Témoignage de soeur Pascale
Chaque fois que je sors de l’atelier une nouvelle bougie, je ressens une grande joie. Je me dis qu’une petite lumière supplémentaire va briller dans le monde, parfois si ténébreux.
La matière première dont je me sers est constituée surtout, des restes des petits cierges de dévotion que les gens viennent allumer devant la Vierge ou un saint, une sainte, dans les églises, en confiant leur intention de prière. Cela me touche particulièrement car la prière et la foi de ces personnes imprègnent cette cire et en fait une matière noble. J’essaye de la traiter avec respect, de travailler en continuant la prière, de donner un autre vie à cette matière pour que l’Espérance puisse encore brûler.